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Automobile

En 30 démarrages, votre voiture a déjà perdu en puissance. Comment l’éviter ?

Par Bardahl Le 6/03/2025 5 min de lecture

En 30 démarrages, votre voiture a déjà perdu en puissance. Comment l’éviter ?
Cela peut vous surprendre mais un moteur actuel, d’autant plus lorsqu’il tourne avec des biocarburants, perd déjà en puissance après une trentaine de démarrages. Comment est-ce possible ? Et comment éviter cette perte de performance ?  

Ces dernières années, les biocarburants se sont répandus dans les stations-service du pays. En d’autres termes, dans l’essence, le taux d’éthanol a augmenté, notamment dans la Sans Plomb 95 (SP95). Cette dernière est souvent disponible en SP95-E10, avec 10% d’éthanol, alors qu’autrefois, ce taux d’éthanol se limitait à 5% (SP95-E5), voire même 0%. Il en est de même avec le diesel B7 ou B10, ce dernier contenant jusqu’à 10% de biodiesel contre 7% pour le diesel B7.  

Biocarburant et performances ne font pas toujours bon ménage

Si l’utilisation de biocarburant est bénéfique pour la planète, les motorisations apprécient un peu moins. Pourquoi ? Parce que la combustion de ces biocarburants est moins bonne, ce qui laisse davantage de dépôts à l’intérieur du moteur. Voilà pourquoi, d’ailleurs, la plupart des véhicules à essence conçus avant les années 2000 n’acceptent pas l’essence SP95-E10. Ce n’est pas non plus pour rien que les constructeurs des voitures et motos les plus sportives recommandent l’essence SP98-E5, plus riche, pour des performances optimales ! Toujours à ce propos, c’est seulement depuis 2022 que les voitures de compétition comme les Formule 1 acceptent une partie de biocarburant. 

Perte de puissance

Pour mieux illustrer ces propos, Bardahl, le spécialiste en additifs et lubrifiants depuis 1954, a réalisé une expérience sur un moteur diesel. Après 32 cycles de démarrage avec un carburant non-additivé, le moteur a perdu plus de 5% de sa puissance. Pour qu’il retrouve sa force d’origine, Bardahl a dû effectuer un nouveau cycle de démarrage avec du carburant additivé, associé au Nettoyant injecteurs Bardahl. 

Pour rappel, les injecteurs servent à amener le carburant dans les cylindres. Avec l’évolution des motorisations, les orifices d’injection de ces injecteurs sont devenus de plus en plus petits avec, en compensation, des pressions d’injection plus élevées. Mais avec la multiplication des biocarburants, des systèmes Stop/Start qui provoquent des redémarrages fréquents, ainsi que des habitudes de conduite sujettes à l’encrassement du moteur, les injecteurs ont tendance à se boucher plus rapidement. En cause ? L’accumulation des dépôts de carburant imbrûlés. Ce sont ces injecteurs encrassés qui provoquent une perte de puissance du moteur, ou une augmentation sensible de la consommation. 

Un travail de fond avec les constructeurs

Depuis toujours, Bardahl travaille en étroite collaboration avec les constructeurs de moteurs thermiques (autos, motos, camions, marine, jardinage, etc). Durant les développements de nouveaux moteurs, plusieurs rapports ont d’ailleurs souligné le mauvais fonctionnement d’injecteurs avec l’utilisation de biocarburants. Voilà pourquoi il est essentiel d’utiliser des additifs. Utilisés à bon escient, ceux-ci vont permettre : 

  • De détacher, dissoudre et brûler complètement les mauvais dépôts. 

  • De rétablir le débit des injecteurs. 

  • De maintenir les performances du moteur. 

  • De réduire la consommation de carburant. 

  • De lubrifier et protéger les organes du moteur. 

  • De réduire l’usure. 

Ces bénéfices mènent à d’autres avantages : 

  • La durabilité et les économies : faire durer les pièces pour éviter des changements coûteux. 

  • L’écologie : un moteur propre est gage de réduction d’émissions polluantes. 

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